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Editorial « A propos des élections municipales »
A propos des municipales
Dans moins d’un mois, nous serons amenés à élire les nouveaux conseils municipaux qui devront régir l’activité des communes durant 6 ans.
Si, comme nous avons déjà eu l’occasion de le dire, il ne nous appartient pas en tant qu’association de protection de la Nature de nous engager sur le terrain électoral et politique et de soutenir officiellement tel ou tel mouvement ou parti, il est malgré tout indéniable que ces élections ne peuvent nous laisser indifférents. Nombre d’entre nous regarderons d’un œil intéressé les résultats obtenus par « les Verts » dans les quelques grandes villes où ils auront pu présenter une liste, mais il faut bien reconnaître que c’est avant tout les communes rurales qui nous préoccupent, et pour cause ! Si quelques « écologistes », avoués ou non, peuvent espérer siéger dans certains de ces conseils municipaux, il n’est pas nécessaire d’être devin pour prévoir que les défenseurs du milieu naturel auront cette fois encore bien du mal à se faire entendre dans les petites communes.
Pourtant l’enjeu de ces élections est particulièrement important cette année puisque la nouvelle loi sur la décentralisation confère aux élus locaux, et donc aux Maires, de nouvelles prérogatives en matière d’urbanisme et d’équipement. Si celles-ci sont encore mal connues, autant des administrations concernées –Préfecture, DDE) que des principaux intéressés, il ressort de cette loi, ou du moins de son esprit, qu’un plus grand pouvoir de décision sera donné aux Maires dans un domaine où ils n’avaient pas brillé jusqu’ici par leur clairvoyance et leur voolonté de préserver pour les futures générations « d’administrés » le patrimoine naturel de la commune. Lorsque l’on sait qu’ils devaient passer jusqu’à présent sous les fourches caudines de l’assentiment préfectoral, on peut se poser quelques questions sur la période à venir dans la mesure où ces fourches vont sinon disparaître, du moins être sensiblement « relevées ». (Il est notamment prévu que les futurs schémas directeurs – ex SDAU – soient élaborés à l’initiative des communes !)
La surenchère, la fuite en avant et la démagogie qui caractérisent l’action de trop nombreux maires, plus soucieux de faciliter leur réélection que de gérer à long terme, risquent de nous entraîner sur une pente très dangereuse, si les garde-fous sont levés. On est en droit de se demander, par exemple, quelles fonctions réelles auront désormais les Groupes d’Etude des POS (GEP) qui permettaient dans une certaine mesure aux DDE de tempérer les ardeurs des Maires atteints d’aménagite aiguë, ou simplement trop enclins à céder aux pressions des propriétaires fonciers désirant voir leurs terrains classés en zone constructible sur le POS de la commune.
On peut bien sûr nous rétorquer que, désormais, la tendance peut être inversée puisque la démocratie va pleinement jouer son rôle. Ainsi, une commune soucieuse de préserver son cadre de vie et un espace naturel digne de ce nom, pourrait barrer la route à des projets d’équipement imposés « d’en haut ». Outre que cela nous paraît pour le moins aléatoire (les déclarations d’utilité publique – DUP – seront toujours là pour trancher), il conviendrait, pour que cette notion de démocratie reprenne tout son sens, que les enjeux soient clairement définis et que les électeurs aient vraiment le choix entre :
– d’une part, une gestion « douce » et Ă long terme, prenant en compte l’espace naturel en tant que patrimoine Ă ne pas brader ;
– D’autre part une gestion « dure » Ă base de lotissements, d’élargissements de route et de bases de loisirs et, comme tout cela coĂ»te cher, de zones industrielles permettant d’encaisser des taxes substantielles.
En fait, le choix se résume la plupart du temps en un affrontement de notables aux projets plus démesurés les uns que les autres, ou bien en la traditionnelle opposition des politiciens de gauche et de droite qui n’ont appris à prononcer le mot environnement que pour glaner quelques électeurs hésitants.
Tristes perspectives en vérité, direz-vous. A court terme, sans doute. Il ne faut pas oublier pour autant que les notions de protection de la nature et de l’environnement sont encore relativement récentes et qu’elles commencent à peine à se développer dans l’esprit du public et des « gestionnaires ». C’est donc à tous ceux qui sont déjà convaincus de faire en sorte qu’elles soient à l’avenir, et le plus tôt sera le mieux, non seulement inscrites dans les programmes électoraux, mais qui mieux est, réellement prises en compte dans la gestion des communes. Et peut-être un jour verrons-nous les Maires sortants se représenter devant leurs électeurs en arguant d’un bilan positif comprenant la création de deux réserves naturelles et l’extension des zones classées ND au POS…
MM
Editorial « Sommes-nous écologistes? »
Depuis la candidature de René Dumont aux élections présidentielles de 1974, les idées écologistes ont fait leur chemin. A tel point que le vocable « écologique » est employé pour désigner n’importe quoi. On dit par exemple : « une couleur écologique », « il ne fume pas, il est écologiste », ou bien « une opération écologique » pour « une opération de nettoyage, etc ».
UNE CONSTATATION…
Avant de savoir si nous sommes écologistes, il faut donc définir ce qu’on entend par là . A partir de l’écologie-science qui étudie les rapports des êtres vivants avec leur milieu, on est naturellement conduit à se poser la question des liens qu’entretien l’homme moderne avec son environnement. La simple observation des faits conduit logiquement à conclure que nous avons avec la Nature un rapport de domination et d’exploitation conduisant à l’artificialisation totale de notre planète, c’est-à -dire à la disparition de toute vie sauvage et spontanée. Aucun pays n’a encore su concilier développement économique et respect de la Nature dans sa prodigieuse diversité.
L’homme exploite l’homme, comme il exploite la Nature pour gagner toujours plus assurer sa suprématie sur ses voisins et maintenir à n’importe quel prix, une expansion économique dont les limites se dessinent pourtant clairement.
Le COSILYO a nettement proclamé son appartenance au courant écologique et depuis 13 ans, il rassemble des personnes autour d’un certain nombre d’idées concrétisées dans notre Charte Notre action pour la protection de la Nature faune, flore, et milieux naturels sauvages, s’inscrit dans une réflexion globale qui relie l’homme au cosmos et la destruction de la Nature à sa vraie cause : le type de société dans lequel nous vivons.
Le simple souci de cohérence nous conduit dès lors à remettre en question un type de croissance dont les inconvénients l’emportent aujourd’hui sur les avantages, à remettre en cause un modèle de développement inégalitaire aux niveaux national et planétaire.
ET DES CONSEQUENCES…
Partant de là , être écologiste, c’est ré-inventer un autre type de société, non seulement respectueux de la Nature et de ses millions de formes vivantes, mais aussi une société plus juste, moins agitée, dont le but ne serait plus le profit, mais le bonheur de l’homme. Le Progrès, oui ; la croissance, oui ; mais à condition qu’ils soient pour tous les hommes, et ne menace pas la vie sur la terre…
L’écologisme (méfions-nous du suffixe !) stipule la réduction massive des inégalités, l’arrêt de la course au « toujours plus ». il nous apprend qu’on peut vivre mieux avec moins, « être » plus en « ayant » moins…
– C’est pourquoi le NuclĂ©aire est inacceptable, en dehors mĂŞme de ses incertitudes Ă©conomiques et de ses risques potentiels. Inacceptable parce que symbole d’une sociĂ©tĂ© technocratique, centralisĂ©e et Ă©nergivorace, opposĂ©e Ă la sociĂ©tĂ© autogestionnaire et dĂ©centralisĂ©e que nous voulons. Une sociĂ©tĂ© conviviale comme l’appelle I. Illitch.
– C’est pourquoi l’abus de la voiture individuelle est critiquable : forme moderne de l’individualisme, elle porte en elle ses propres contradictions et nous fait croire que vivre c’est aller toujours plus loin, toujours plus vite.
– C’est pourquoi aussi, est critiquable l’agriculture moderne, prise elle aussi au piège de l’expansion et du toujours plus : plus grand, plus mĂ©canisĂ©, encore plus de pesticides…
– C’est pourquoi nous critiquons la publicitĂ© qui nous crĂ©tinise, fait prendre des vessies pour des lanternes et le gadget superflu pour l’indispensable.
La Société moderne, agression perpétuelle contre l’homme et la Nature, engendre la violence, le mépris… Les écologistes se sont prononcés pour la non-violence active, la reconnaissance et l’acceptation des autres avec leurs différences.
Bien sûr, tout ça c’est des idées, direz-vous, de l’utopie. Mais l’utopie n’est-elle pas nécessaire pour indiquer la direction ?
Lettre du directeur départemental de la santé du Rhône (D.D.A.S.S) au préfet
Lettre du D.D.AS.S. au Préfet du Rhône, 18 décembre 1970 photo 4129
Votre lettre du 10 novembre 1970
« Lors de la réunion du 8 octobre 1970, relative aux problèmes de l’environnement, tenue sous votre présidence, vous avez souligné la nécessité de créer des groupes de recherches qui, à l’image du Haut Comité de l’environnement, associeront des représentants des administrations à des universitaires et à des personnalités qualifiées du secteur privé.
J’ai l’honneur de vous proposer ci-joint la liste des personnalités qui me paraissent qualifiées pour faire partie du « Groupe de recherche sur la pollution atmosphérique ».
Ce groupe constitué conformément à vos instructions rassemble :
1° Représentants d’administrations concernées sur le problème de la pollution atmosphérique
– Direction de l’action sanitaire et sociale
– Arrondissement minĂ©ralogique de Lyon
– Direction de la RĂ©glementation
– Direction du Travail et de la Main d’œuvre
– Bureau d’hygiène de Lyon
– Services de la MĂ©tĂ©orologie
2° membres de l’Université
– M. le Dr Chambon, Prof honoraire de la facultĂ© de mĂ©decine
– M. Moiroud, directeur-adjoint de l’Ecole centrale de Lyon, reprĂ©sentant Ă©galement l’Association pour le DĂ©veloppement des Sciences et Techniques de l’Environnement
– M. le Docteur Fontange, mĂ©decin chef de 2e classe au Centre de l’ArmĂ©e
– M. le Docteur Collombel, maĂ®tre-assistant du Laboratoire de Toxicologie et d’hygiène industrielle de la FacultĂ© de mĂ©decine
– M. Joubert, professeur Ă l’INSA
– M. Gelin, professeur Ă l’INSA
3° personnalités qualifiées
– M. Delfante, urbanisme de la CommunautĂ© urbaine de Lyon
– M. Cadiergues, directeur du COSTIC
– M. Rigard, ingĂ©nieur de la SOGREAH
4° Représentant de la profession
a) Combustibles : M. Gallot, combustibles gazeux ; M. Raguin, combustibles solides ; M. Pile, combustibles liquides
b) Chambre syndicale des entrepreneurs de chauffage :
– Syndicat national des exploitants de chauffage, section lyonnaise
– Syndicat national des fabricants de produits chimiques de la rĂ©gion lyonnaise
5° Organismes divers
– Association lyonnaise des propriĂ©taires d’appareils Ă vapeur et Ă©lectriques
– Automobile Club du RhĂ´ne
Ainsi seraient réunies les personnalités qui, en raison de leur compétence ou de leur appartenance à des organismes concernés par la pollution atmosphérique, me paraissent susceptibles de procéder à l’étude des différentes causes de pollution de l’air, ainsi que des solutions et moyens à mettre en œuvre immédiatement et à long terme pour la réduction de ces nuisances.
Je me permets de vous suggérer de confier la présidence du groupe de recherche à M. le Docteur Violet, directeur du bureau d’hygiène de Lyon, et le secrétariat à M. Bergier, ingénieur sanitaire départemental.
Si ce projet reçoit votre agrément, je vous serais obligé de bien vouloir arrêter la liste des membres de ce Groupe de recherches.
Le Directeur de l’Action Sanitaire et Sociale, E. Rouvière.
Conseil Municipal – DĂ©bat sur la dĂ©moustication
Séance du conseil municipal du 25 janvier 1960
Question de Mr Collomb Henri, sur les moyens donnés pour la démoustication.
Mr le Maire. Nous avons inscrit un crédit important pour la lutte antimoustiques. Nous avons donc fait notre devoir vis-à -vis de la population.
Vous avez raison, mon cher Maître, lorsque vous dites que des mesures d’ensmelbe avec les communes suburbaines avaient été envisagées l’année dernière. En effet, il y a eu une réunion d’étude à la Préfecture, à laquelle j’assistais. J’étais accompagné par M le Dr Violet, directeur de notre Bureau d’hygiène. M le Préfet avait convoqué une quarantaine de maires, allant de la commune de Givors, jusqu’à celle de Neuville-sur-Saône, et même de Miribel dans l’Ain, car il est nécessaire de lutter contre les moustiques des bords du Rhône et contre ceux des bords de la Saône.
Vous savez comme moi que l’eau, en particulier l’eau stagnante, les boutasses et les fosses septiques, qui sont un peu l’apanage des communes voisines, sont des endroits de prédilection pour les moustiques. La ville de Lyon dépense des sommes importantes pour lutter contre ces bestioles, alors que les communes limitrophes ne font rien. On peut même dire que l’élevage des moustiques se fait sur leur territoire, il en est d’ailleurs de même en ce qui concerne les rats.
(…)
C’est surtout dans les fosses septiques qu’ils se développent. Si tous les Lyonnais mettaient dans leurs WC, la drogue délivrée par le Bureau d’hygiène, on obtiendrait un résultat. De nombreuses personnes aident le Bureau. Saint Just est un quartier où un élevage important de moustiques existe dans de très nombreuses pièces d’eau.
(…)
M Pinton (…). Les moustiques ne s’écarent que très peu de la zone où ils ont pris naissance. Dans ces conditions, on s’explique mal pourquooi l’on éprouve le besoin de subordonner la lutte contre les moustiques à une vaste organisation départementale. Je comprends très bien qu’il y a peut-être intérêt) les combattre en dehors de Lyon, mais chacun pour soi puisque le moustique se développe dans une zone extrêmement restreinte.
IL n’est pas douteux qu’il y a un certain nombre d’années, par suite d’un effort important de la Ville, par suite surtout, du concours sérieux apporté par la population, on avait obtenu des résultats considérables qui, malheureusement, se sont estompés.
On a essayé d’autres procédés. Je me souviens qu’on avait mis dans le lac de la tête d’Or des poussons qui devaient détruire les moustiques. A la vérité, est-c-e les moustiques qui ont détruit les poissons ou est ce les pêcheurs, toujours est il que cela n’a pas apporté beaucoup de résultats.
(…)
Il faut prévoir la reprise de la campagne de propagande entreprise il y a quelques années car, avec les services municipaux, avaient travaillé à la fois des scouts, des éclaireurs et des volontaires. La tâche la plus difficile était d’aller, à plusieurs reprises, verser le produit délivré par le Bureau d’hygiène dans tous les immeubles ou dans les eaux stagnantes.
(…)
Mr le Maire. Si, avenue Thiers par exemple, du côté pair qui est sur le territoire de la Ville de Lyon, notre personnel et les scouts vont chez les propriétaires mettre le produit dans les fosses, et qu’en face, côté Villeurbanne, on ne ne le fasse pas, les moustiques auront vite fait de traverser la rue pour piquer les habitants d’en face. Le problème est plus compliqué que vous ne le pensez parce qu’il y a, je crois, deux catégories de moustiques. De plus, le vent amène les moustiques. Nous en avons des témoins : les administrateurs des Hospices. Dans le midi, il y a beaucoup de moustiques et à l’hôpital de Giens, de nombreux enfants étaient piqués. Le professeur Roman est allé spécialement sur place pour mener la lutte. On a utilisé un hélicoptère et même un avion. On a nettoyé toute la presqu’ile de Giens. La première année, les résultats ont été satisfaisants : l’année dernière, les moustiques sont venus des Salins. C’était le vent qui les avait amenés.
M. Baridon. On a parlé de moustiques cuirassés et de moustiques vaccinés. C’est peut-être vrai pour les adultes et les produits au DDT utilisés pour leur destruction, mais la véritable lutte contre les moustiques, c’est contre les larves qu’il faut l’entreprendre. Et ainsi il n’y aura pas de moustiques vaccinés ou cuirassés.
66 – Fonds Vesseron – Affaires La Littorale & Rapports sur la pollution de l’air
Contient notamment :
– un rapport sur la pollution atmosphĂ©rique (CommunautĂ© europĂ©enne, 1983)
– un rapport de AndrĂ© Roussel sur l’impact de l’automobile sur la pollution de l’air (1984-1985)
Contient un dossier sur La littorale (filiale Union carbide, produisant du TĂ©mik) suite Ă l’affaire de Bhopal.
Article Le Progrès, 3 mars 1988 : « Baroud d’honneur contre le C.D. 300 »
Afin de protester contre le projet de contournement autoroutier de Lyon par le CD. 300, l’A46 Nord et l’A6 Sud, le collectif d’Associations de l’Est lyonnais (C.A.E.L.) a organisé hier en fin d’après-midi une manifestation à Lyon.
Près de cinq cents personnes se sont rassemblées devant la Direction départementale de l’Equipement, rue Moncey, et ont défilé jusqu’à la Préfecture du Rhône.
Bien que le C.A.E.L. se dise « totalement apolitique », de nombreux élus participaient à cette manifestation, en particulier des élus du P.C. et du Front national, les députés Charles Fiterman et Bruno Gollnisch entre autres, ainsi que Marc Fraysse, conseiller municipal (RPR) de Décines qui contrairement à son parti, est opposé à ce projet décidé par le Conseil régional et confirmé par ministre de l’Equipement. Par contre, le PS dont certains élus locaux émettent des réserves sur le C.D. 300, ne s’était pas associé à la manifestation.
Une délégation du C.A.E.L. a été reçue à la Préfecture.
Dans une motion, le collectif regrette notamment que « « les conclusions de l’enquête publique (qui s’est achevée en décembre) ne tiennent aucun compte des délibérations des conseils municipaux ou les déforment ».
Il est peu probable que cette manifestation fasse revenir les pouvoirs publics sur leur décision. D’ailleurs, les manifestations eux-mêmes ne se faisaient guère d’illusion.
Faut-il en conclure que cette manifestation n’est qu’ « un baroud d’honneur et même un combat d’arrière-garde », comme le reconnaissaient plusieurs d’entre eux ?
Mots clés : infrastructures routières, manifestation, politisation, Est lyonnais
Courrier du vice-président de la COURLY Président de la Commission des Eaux (M. André) à la préfecture du Rhône, 14 janvier 1983
Objet : protection des puits de captage de Crépieux
Réf : réunion du 11 courant à la Préfecture
Monsieur le Préfet,
Profondément inquiet pour l’approvisionnement en eau potable des habitants de la Communauté urbaine de Lyon je vous confirme mon opposition à une mise en service des autoroutes LY.5 et A.42, sans la réalisation des dispositifs de collecte et d’évacuation des pollutions chroniques et accidentelles.
La possibilité d’usage sélectif (voitures légères seulement) est illusoire, de leur propre aveu les CRS ne pouvant assurer avec certitude un filtrage efficace.
Les récents incidents de Givors doivent faire prendre conscience des responsabilités encoures vis-à -vis des populations »
Mots clés : eau potable, infrastructures routières, risque/risques, COURLY
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- Tract du Bureau d’hygiène de Lyon sur la dĂ©moustication – 1948
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- L’affaire de la Feyssine
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- Les enjeux politiques d’une question environnementale (1991-1992)
- Epilogue (1992-1995)
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- Intermède – L’affaire dans l’affaire
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