industries
industriel
industrielle
industriels
industrielles
industrialisation
industrialisations
industrial
industrials
industry
industries

Rapport de l’inspecteur des établissements classés au chef du service des inspections, 1er septembre 1970

Objet : plaintes contre les Ets Roussel-UCLAF

Réfé : Lettres de M. le Préfet des

1-7-1970, plainte de M. Cordier

21-7-1970, plainte du Dr C.

30-7-1970, plainte de M. B.

3-8-1970, plainte de M. D.

J’ai l’honneur de vous rendre compte des premiers résultats de l’enquête que j’ai entreprise, à la suite des plaintes citées en référence.

Cette enquête m’a amené à établir des contacts avec les plaignants, à faire à l’usine ROUSSEL et dans les environs des visites spécialement axées sur ce problème et à assister à une réunion, organisée le 21 août 1970 à 20h30 à la salle des fêtes de Trévoux, par l’Association contre les nuisances de la vallée de la Saône, dont M. Berthillier est le Président.

L’existence d’odeurs désagréables dans la région de Neuville ne saurait être mise en doute. Trop de témoignages de personnes dignes de foi sont concordants en ce qui concerne leur réalité. De plus, l’affluence à la réunion de Trévoux prouve que ces nuisances sont prises très au sérieux par le public.

Cependant, certaines divergences apparaissent entre les plaignants, quant à la nature des odeurs. Il est vrai que, sauf peut-être pour de très rares personnes douées d’un odorat exercé, il est très difficile d’en déterminer avec précision la nature.

En tout cas, beaucoup des plaignants incriminent l’usine ROUSSEL-UCLAF, c’est pourquoi j’ai fait une visite de cet établissement.

Je dois préciser que pas plus cette fois que lors de mes passages habituels à Neuville, il ne m’a été donné de percevoir d’odeur spécialement remarquable.

M. Ory, chef du service de la sécurité, m’a fait connaître le point de vue de la société puis, dans une visite détaillée des ateliers, m’a montré ce qui avait été réalisé, dans le but d’atténuer certaines nuisances et d’en supprimer d’autres. Son point de vue concorde parfaitement avec les termes d’une lettre datée du 16 avril 1970, du Directeur de l’Usine au Docteur Dugoujon, conseiller général du Rhône, dans laquelle il est dit :

« Le problème plus particulier de la pollution atmosphérique est le problème permanent de l’industrie chimique, et notre genre d’activité qui, comme vous le savez en tant que médecin, est très évolutive notre entraîne parfois à mettre en œuvre des matières ne présentant pas de caractère de toxicité propre mais dont l’odeur est très pénétrante à l’état de traces.

Si nous sommes parfaitement avertis des problèmes de toxicité à la mise en œuvre initiale et si nous pouvons prévoir toutes les installations nécessaires pour la suppression des nuisances, il n’en est pas de même en ce qui concerne le problème des odeurs. Ce problème peu connu au départ nécessite de nombreuses études de captation qui entraînent un certain délai de réalisation

L’établissement de Neuville-sur-Saône a été accusé d’émettre trois types d’odeu, des vapeurs rouges et des vapeurs blanches.

Le premier type d’odeur est celui émanant du traitement de la bile de bœuf, matière première pour l’hémisynthèse des corticostéroïdes dont notre Société a la fierté d’(être l’un des plus grands producteurs mondiaux. Cette odeur organique par essence non toxique a été captée, après de nombreux travaux, au point d’être devenue insignifiante.

Une modernisation de nos installations est en cours et nous devrions en 1971-72 obtenir une absorption plus que parfaite de cette odeur.

La deuxième est celle analogue à celle du chou. Il s’agit là d’une odeur provenant de la manipulation de quelques kilog par mois de Méthylmercaptan nécessaires à la fabrication des dérivés sulfurés du Colchicoside. L’exploitation de cette fabrication, du reste très sporadique, vient d’être abandonnée par notre établissement.

La troisième est une odeur de tannerie et c’est vraisemblablement celle qui vient de provoquer une certaine émotion dans la population. Il s’agit de l’odeur dégagée par la production de quelques centaines de kilos par mois d’un nouvel intermédiaire : l’ester éthylique de l’Acide Hexahydrobenzoïque, autrement dit l’Hexahydrobenzoate d’éthyle.

Cette substance est nécessaire pour la préparation d’un nouveau médicament de synthèse qui va bientôt apparaître sur le marché sous le nom d’Endogine (c’est un fertilisant non stéroïdien.

(…)

Nos services de fabrication et de sécurité ont déjà mis en œuvre des méthodes permettant de limiter considérablement les émissions de ces traces de vapeur et l’effet s’en fait sentir depuis quelques jours. Ils poursuivent leur tâche et amélioreront encore les performances de leurs appareils. De plus, nous sommes sur le point de trouver un fournisseur qui nous délivrera le dérivé que nous synthétisons à l’heure actuelle, ce qui aura pour conséquence de supprimer radicalement la nuisance causée par la fabrication de cet ester.

En ce qui concerne l’émission de vapeurs colorées en rouge, il s’agit de vapeurs se dégageant de l’attaque d’un métal par l’acide nitrique. Ces vapeurs sont rapidement détruites dans l’atmosphère et ne représentant aucun caractère dangereux.

Nous étudions depuis très longtemps le pb de la destruction de cet effluent atmosphérique et y avons déjà consacré d’importantes études. Il s’agit là d’un problème ardu en sujet duquel nous ne désespérons pas d’aboutir.

Pour ce qui est de vapeurs blanches, la majorité de celles-ci sont constituées par de la vapeur d’eau. Il arrive parfois cependant que des traces de vapeur d’acide chlorhydrique se combinent avec des traces d’ammoniaque notamment lors de la livraison de ces matières premières par camion-citerne. Il s’ensuit un léger brouillard blanchâtre absolument anodin, mais qui peut inquiéter certains de nos voisins.

L’arrêt de la fabrication de l’Hexahydrobenzoate de méthyle qui, lors de l’envoi de cette lettre, était seulement prévu, est effectif depuis le 30 juin. Le produit arrive désormais tout préparé d’une usine de la région parisienne.

Il semble donc que la cause principale des plaintes a disparu. Cependant, les plaignants ne désarment pas. Lors de la réunion de Trévoux, le 21 août, plusieurs participants ont affirmé avoir ressenti « l’odeur » à plusieurs reprises, après le 1er juillet, quoique avec moins de fréquence et d’intensité qu’auparavant.

Il n’est pas possible de savoir s’il s’agit bien de la même odeur et, le cas échéant, d’où elle émane. En tout cas il est exclus qu’elle soit issue de l’usine puisque le produit litigieux a cessé d’y être fabriqué. Les mêmes odeurs avaient d’ailleurs été signalées auparavant à des jours et des heures où toute activité était arrêtée dans l’usine Roussel, par exemple, certains dimanches soirs.

Par ailleurs, les émanations nauséabondes ne manquent pas dans le secteur. Il m’a été donné d’apprécier celles de la station d’épuration de Couzon, et l’on m’a signalé celles de diverses usines ou dépôts d’immondices, celles des basses eaux de la Saône, des épandages agricoles, de certaines tueries de volailles, etc.

En résumé, après avoir recueilli divers témoignages et enquêté à l’usine même, il ne m’est pas possible de donner un avis péremptoire. Toutefois, je crois, qu’actuellement du moins, les activités de la Sté Roussel Uclaf ne sont pas génératrices d’émanations dangereuses ou insalubres. Quelques émanations incommodes lui sont imputables, mais elles ne sont pas fréquentes et conservent un caractère accidentel.

Un modus vivendi devrait s’établir entre l’usine et les plaignants. D’ailleurs, à l’invitation de la Direction, M. Berthillier et le docteur Cottraux doivent visiter l’usine Roussel mercredi 2 septembre. Ils espèrent pouvoir se faire accompagner du docteur Violet. A leur demande, je compte participer moi-même à la visite et j’espère que M. Bergier, ingénieur sanitaire, qui s’intéresse aussi à la question pourra y prendre part.

L’inspecteur des éts classés

 

 

Appel à souscription pour un film vidéo sur Seveso

Association de diffusion populaire, 1 rue camille jordan 69001 Lyon le 10 juillet 1977
Appel à souscription pour un film vidéo sur Seveso
Argumentaire : Seveso est une arme dans la lutte contre superphénix

« L’association de diffusion populaire dont le but est de réaliser avec des travailleurs, de populations en lutte des documents audiovisuels utiles pour leurs luttes et d’aider à la diffusion lance une souscription pour ce montage. L’association a récemment réalisé « juillet 76 à Malville » et « Kergrist clown atomique » en vidéo noir et blanc et aidé à leur diffusion dans la région lyonnaise.

15 – Viciation de l’air par la poussière industrielle et la fumĂ©e

26 – Industries chimiques

3 – Industrie minière

22 – Hygiène industrielle

Editorial « A propos des élections municipales »

A propos des municipales

Dans moins d’un mois, nous serons amenés à élire les nouveaux conseils municipaux qui devront régir l’activité des communes durant 6 ans.
Si, comme nous avons déjà eu l’occasion de le dire, il ne nous appartient pas en tant qu’association de protection de la Nature de nous engager sur le terrain électoral et politique et de soutenir officiellement tel ou tel mouvement ou parti, il est malgré tout indéniable que ces élections ne peuvent nous laisser indifférents. Nombre d’entre nous regarderons d’un œil intéressé les résultats obtenus par « les Verts » dans les quelques grandes villes où ils auront pu présenter une liste, mais il faut bien reconnaître que c’est avant tout les communes rurales qui nous préoccupent, et pour cause ! Si quelques « écologistes », avoués ou non, peuvent espérer siéger dans certains de ces conseils municipaux, il n’est pas nécessaire d’être devin pour prévoir que les défenseurs du milieu naturel auront cette fois encore bien du mal à se faire entendre dans les petites communes.
Pourtant l’enjeu de ces élections est particulièrement important cette année puisque la nouvelle loi sur la décentralisation confère aux élus locaux, et donc aux Maires, de nouvelles prérogatives en matière d’urbanisme et d’équipement. Si celles-ci sont encore mal connues, autant des administrations concernées –Préfecture, DDE) que des principaux intéressés, il ressort de cette loi, ou du moins de son esprit, qu’un plus grand pouvoir de décision sera donné aux Maires dans un domaine où ils n’avaient pas brillé jusqu’ici par leur clairvoyance et leur voolonté de préserver pour les futures générations « d’administrés » le patrimoine naturel de la commune. Lorsque l’on sait qu’ils devaient passer jusqu’à présent sous les fourches caudines de l’assentiment préfectoral, on peut se poser quelques questions sur la période à venir dans la mesure où ces fourches vont sinon disparaître, du moins être sensiblement « relevées ». (Il est notamment prévu que les futurs schémas directeurs – ex SDAU – soient élaborés à l’initiative des communes !)
La surenchère, la fuite en avant et la démagogie qui caractérisent l’action de trop nombreux maires, plus soucieux de faciliter leur réélection que de gérer à long terme, risquent de nous entraîner sur une pente très dangereuse, si les garde-fous sont levés. On est en droit de se demander, par exemple, quelles fonctions réelles auront désormais les Groupes d’Etude des POS (GEP) qui permettaient dans une certaine mesure aux DDE de tempérer les ardeurs des Maires atteints d’aménagite aiguë, ou simplement trop enclins à céder aux pressions des propriétaires fonciers désirant voir leurs terrains classés en zone constructible sur le POS de la commune.
On peut bien sûr nous rétorquer que, désormais, la tendance peut être inversée puisque la démocratie va pleinement jouer son rôle. Ainsi, une commune soucieuse de préserver son cadre de vie et un espace naturel digne de ce nom, pourrait barrer la route à des projets d’équipement imposés « d’en haut ». Outre que cela nous paraît pour le moins aléatoire (les déclarations d’utilité publique – DUP – seront toujours là pour trancher), il conviendrait, pour que cette notion de démocratie reprenne tout son sens, que les enjeux soient clairement définis et que les électeurs aient vraiment le choix entre :
– d’une part, une gestion « douce » et Ă  long terme, prenant en compte l’espace naturel en tant que patrimoine Ă  ne pas brader ;
– D’autre part une gestion « dure » Ă  base de lotissements, d’élargissements de route et de bases de loisirs et, comme tout cela coĂ»te cher, de zones industrielles permettant d’encaisser des taxes substantielles.
En fait, le choix se résume la plupart du temps en un affrontement de notables aux projets plus démesurés les uns que les autres, ou bien en la traditionnelle opposition des politiciens de gauche et de droite qui n’ont appris à prononcer le mot environnement que pour glaner quelques électeurs hésitants.
Tristes perspectives en vérité, direz-vous. A court terme, sans doute. Il ne faut pas oublier pour autant que les notions de protection de la nature et de l’environnement sont encore relativement récentes et qu’elles commencent à peine à se développer dans l’esprit du public et des « gestionnaires ». C’est donc à tous ceux qui sont déjà convaincus de faire en sorte qu’elles soient à l’avenir, et le plus tôt sera le mieux, non seulement inscrites dans les programmes électoraux, mais qui mieux est, réellement prises en compte dans la gestion des communes. Et peut-être un jour verrons-nous les Maires sortants se représenter devant leurs électeurs en arguant d’un bilan positif comprenant la création de deux réserves naturelles et l’extension des zones classées ND au POS…
MM

Courrier de l’ingĂ©nieur des Mines au sujet du groupe de travail « Emissions industrielles »

Lettre de l’ingénieur en chef des Mines à Madame Claudine Lange, attachée, professeur coordination générale, préfecture, 20 avril 1971
Objet : action pour l’environnement dans le département du Rhône. Groupe Pollution atmosphérique. Sous-groupe : émissions industrielles
« Le sous-groupe : émissions industrielles dont je suis l’animateur s’est réuni le 25 mars 1971 et a décidé de créer trois commissions de travail dont je vous rappelle ci-après les objectifs et la composition :
1e commission :
Objectif : dresser l’inventaire – par commune – des rejets polluants dans l’atmosphère en se limitant à SO2, CO, poussières, probabilités d’odeurs et polluants particuliers.
Composition : animateur : M. le professeur Joubert
Membres : Directeur de l’ALPAVE ou son représentant, M. Bergier, ingénieur sanitaire DDASS, professeur Perrot, M. Ory, ingénieur chimiste
2e commission :
Objectif ; rechercher les mesures propres à réduire les nuisances des usines existantes en matière de pollution atmosphérique
Composition : animateur : M. le professeur Chambon
Membres : M. le professeur Joubert ; M. le professeur Gelin ; M. Ory ingénieur chimiste, M. Sarteur du centre de recherche Elf ou son représentant ; M. Favière du GIL
3e commission :
Objectif : prospective pour l’implantation d’usines dans l’optique de moindres nuisances (zones industrielles, aménagement de sites, destruction de déchets)
Composition : animateur : M. Rivoire de l’OREAM
Membres : M. Soulier, atelier d’urbanisme ; M. le professeur Collombel, M. Favière du GIL
J’ai l’honneur de vous indiquer que la prochaine réunion du sous-groupe Emissions industrielles aura lieu le 29 avril 1971 (au lieu du 22 primitivement prévu).
Pour l’ingénieur en chef des Mines, l’ingénieur des TPE délégué, H. Agacinski

Lettre du directeur départemental de la santé du Rhône (D.D.A.S.S) au préfet

Lettre du D.D.AS.S. au Préfet du Rhône, 18 décembre 1970 photo 4129
Votre lettre du 10 novembre 1970
« Lors de la réunion du 8 octobre 1970, relative aux problèmes de l’environnement, tenue sous votre présidence, vous avez souligné la nécessité de créer des groupes de recherches qui, à l’image du Haut Comité de l’environnement, associeront des représentants des administrations à des universitaires et à des personnalités qualifiées du secteur privé.
J’ai l’honneur de vous proposer ci-joint la liste des personnalités qui me paraissent qualifiées pour faire partie du « Groupe de recherche sur la pollution atmosphérique ».
Ce groupe constitué conformément à vos instructions rassemble :
1° Représentants d’administrations concernées sur le problème de la pollution atmosphérique
– Direction de l’action sanitaire et sociale
– Arrondissement minĂ©ralogique de Lyon
– Direction de la RĂ©glementation
– Direction du Travail et de la Main d’œuvre
– Bureau d’hygiène de Lyon
– Services de la MĂ©tĂ©orologie

2° membres de l’Université
– M. le Dr Chambon, Prof honoraire de la facultĂ© de mĂ©decine
– M. Moiroud, directeur-adjoint de l’Ecole centrale de Lyon, reprĂ©sentant Ă©galement l’Association pour le DĂ©veloppement des Sciences et Techniques de l’Environnement
– M. le Docteur Fontange, mĂ©decin chef de 2e classe au Centre de l’ArmĂ©e
– M. le Docteur Collombel, maĂ®tre-assistant du Laboratoire de Toxicologie et d’hygiène industrielle de la FacultĂ© de mĂ©decine
– M. Joubert, professeur Ă  l’INSA
– M. Gelin, professeur Ă  l’INSA

3° personnalités qualifiées
– M. Delfante, urbanisme de la CommunautĂ© urbaine de Lyon
– M. Cadiergues, directeur du COSTIC
– M. Rigard, ingĂ©nieur de la SOGREAH

4° Représentant de la profession
a) Combustibles : M. Gallot, combustibles gazeux ; M. Raguin, combustibles solides ; M. Pile, combustibles liquides
b) Chambre syndicale des entrepreneurs de chauffage :
– Syndicat national des exploitants de chauffage, section lyonnaise
– Syndicat national des fabricants de produits chimiques de la rĂ©gion lyonnaise

5° Organismes divers
– Association lyonnaise des propriĂ©taires d’appareils Ă  vapeur et Ă©lectriques
– Automobile Club du RhĂ´ne

Ainsi seraient réunies les personnalités qui, en raison de leur compétence ou de leur appartenance à des organismes concernés par la pollution atmosphérique, me paraissent susceptibles de procéder à l’étude des différentes causes de pollution de l’air, ainsi que des solutions et moyens à mettre en œuvre immédiatement et à long terme pour la réduction de ces nuisances.
Je me permets de vous suggérer de confier la présidence du groupe de recherche à M. le Docteur Violet, directeur du bureau d’hygiène de Lyon, et le secrétariat à M. Bergier, ingénieur sanitaire départemental.
Si ce projet reçoit votre agrément, je vous serais obligé de bien vouloir arrêter la liste des membres de ce Groupe de recherches.
Le Directeur de l’Action Sanitaire et Sociale, E. Rouvière.

3 – Risques industriels, pĂ©trole et chimie

5 – Risques industriels, pĂ©trole et chimie

8 – Risques industriels, pĂ©trole et chimie

6 – Risques industriels, pĂ©trole et chimie

63 – Fonds Vesseron – DĂ©chets de Seveso

31 – Risques industriels, pĂ©trole et chimie

32 – Risques industriels, pĂ©trole et chimie

33 – Risques industriels, pĂ©trole et chimie

404 – Anciences sites industriels

393 – Refonte de la nomenclature des installations classĂ©es ICPE

392 – Refonte de la nomenclature des installations classĂ©es ICPE

584 – Guide de gestion des sites industriels potentiellement contaminĂ©s par des substances radioactives, rapport sur la communication de la politique nationale en matières de sites et sols polluĂ©s

573 – Rapport final de la convention DDPR, archives et inventaire historique des sites potentiellement polluĂ©s par une activitĂ© industrielle (CNRS)

574 – Guide pour la maĂ®trise de l’urbanisation et des voies de communication autour des sites industriels Ă  risques

575 – Recherches historiques rĂ©gionales de sites potentiellement polluĂ©s par des activitĂ©s industrielles passĂ©es, rapport final concernant les activitĂ©s du GDR OkaĂŻa

570 – Pollution des sols et rejets industriels

469 – Emissions industrielles

470 – Emissions industrielles

471 – Emissions industrielles

564 – Pollutions des sols d’origine agricole et industrielle

106 – RĂ©vision de la nomenclature sur l’industrie des polymères

Les sociĂ©tĂ©s locales Ă  l’Ă©preuve du risque urbain : un siècle de gestion du danger dans deux contextes de l’agglomĂ©ration lyonnaise (fin XIXe-fin XXe siècle)

La pollution industrielle de la Moselle française : naissance, dĂ©veloppement et gestion d’un problème environnemental, 1850-2000

Un territoire pĂ©riurbain, industriel et ouvrier : promotions rĂ©sidentielles de mĂ©nages des classes populaires et trajectoires d’Ă©lus salariĂ©s intermĂ©diaires de l’industrie dans la Plaine de l’Ain

Au coeur du risque. L’INERIS 15 ans d’expertises

Planifier le risque industriel

YPREMA. 20 ans d’Ă©cologie industrielle

La pollution de l’eau d’origine industrielle en RhĂ´ne-Alpes

L’archĂ©ologie industrielle en France. Actes du VIIe colloque national sur le patrimoine industriel. Toulouse, 2-4 Octobre 1985

La pollution industrielle et l’offre environnementale

Le risque, le salariĂ© et l’entreprise. Contribution syndicale Ă  la prĂ©vention des risques industriels et technologiques majeurs

Risques industriels et éthique

Les industries de l’emballage de consommation

Mon combat contre les empoisonneurs. Comment les industriels s’organisent pour continuer Ă  vendre leurs produits toxique et comment les citoyens se mobilisent pour leur rĂ©pondre

Les dĂ©chets industriels et l’environnement

Déchets industriels

Presidents and the American environment

La maîtrise des déchets industriels

Atomic frontier days : Hanford and the American West

DĂ©bordements des activitĂ©s industrielles dans la citĂ©. Etudes de conflits et d’interventions publiques du 18e au 20e siècle

Ducktown smoke : the fight over one of the South’s greatest environmental disasters

Urban green : bature, recreation, and the working class in industrial Chicago

Gone tomorrow : the hidden life of garbage

The technological fix : how people use technology to create and solve problems

American environmental history

Inventing for the environment

Cash for your trash : Scrap recycling in America

The Chicago river : an illustrated history and guide to the river and its waterways

The landscape of reform : civic pragmatism and environmental thought in America

La prévention des risques industriels en Rhône-Alpes

Un territoire Ă  la recherche de sa dynamique industrielle la Plaine de l’Ain

Etat de l’environnement industriel en RhĂ´ne-Alpes / [Livre] /

Le Projet de la centrale nucléaire de Creys-Malville : surrégénérateur

Nature next door : cities and trees in the American Northeast

Technological trajectories and the human environment

Permissible dose : a history of radiation protection in the twentieth century

Don’t breathe the air : air pollution and U.S. environmental politics, 1945-1970

The smoke of London : energy and environment in the early modern city

Redefining efficiency : pollution concerns, regulatory mechanisms, and technological change in the U.S. petroleum industry

Les industriels et les risques pour l’environnement

Précis général des nuisances. Nuisances dues aux activités industrielles

Évaluation du coĂ»t de la prĂ©vention de la pollution atmosphĂ©rique dans l’industrie en France : situation en 1970 et prĂ©visions pour la pĂ©riode 1971-1975 (VIe plan)

Les indicateurs de l’environnement dans les zones industrielles

In nature we trust: les paysages anglais Ă  l’ère industrielle

Histoire de la pollution industrielle. France, 1789-1914

Risque et société

Risque & sociĂ©tĂ© : actes du colloque Risque & SociĂ©tĂ©, CitĂ© des sciences et de l’industrie de Paris-La Villette, 18-19-20 novembre 1998

La prévention des risques industriels en France. Bilan et perspectives

Silent spill : the organization of an industrial crisis

Uneasy alchemy : citizens and experts in Louisiana’s chemical corridor disputes

Deceit and denial : the deadly politics of industrial pollution

Les enjeux de l’environnement industriel en France dans les annĂ©es 1960. Les industriels et la naissance d’une politique

Blighted areas and obnoxious industries : constructing environmental inequality on an industrial waterfront, Hamilton, Ontario, 1890–1960